

Les discussions ont porté sur les sujets suivants :
𝗧𝗶𝘁𝗿𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝘀𝗲́𝗷𝗼𝘂𝗿 : Une demande a été formulée aux autorités afin qu’elles intensifient leurs efforts pour assister les Sénégalais confrontés à des difficultés dans le renouvellement ou l’obtention de titres de séjour. Il a été suggéré que les consulats proposent une assistance juridique et accompagnent individuellement les demandeurs, en partenariat avec les associations sénégalaises locales.
𝗦𝘁𝗮𝗴𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝘃𝗮𝗹𝗼𝗿𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗱𝗶𝗽𝗹𝗼̂𝗺𝗲𝘀 : Plusieurs étudiants ont exprimé leurs difficultés à trouver un stage de fin d’études, essentiel pour la validation de leur parcours universitaire. Il a été proposé de créer une plateforme dédiée aux offres de stages, en partenariat avec des entreprises sénégalaises et internationales.
𝗕𝗼𝘂𝗿𝘀𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗲́𝘁𝘂𝗱𝗶𝗮𝗻𝘁𝘀 𝘀𝗲́𝗻𝗲́𝗴𝗮𝗹𝗮𝗶𝘀 : Plusieurs étudiants ont fait part de leurs préoccupations concernant les retards de paiement des bourses et, dans certains cas, leur suppression pure et simple.
𝗖𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲́𝗲 𝗮𝘂𝘅 𝗴𝗿𝗮𝗻𝗱𝗲𝘀 𝗲́𝗰𝗼𝗹𝗲𝘀 𝘀𝗲́𝗻𝗲́𝗴𝗮𝗹𝗮𝗶𝘀𝗲𝘀 𝗮̀ 𝗹’𝗲́𝘁𝗿𝗮𝗻𝗴𝗲𝗿 : J’ai adressé au gouvernement sénégalais une demande écrite pour faciliter l’organisation de ces concours. Les autorités avancent des difficultés liées aux questions de sécurité des épreuves, à leur organisation simultanée et à leur coût.
𝗟𝗶𝗺𝗶𝘁𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹’𝗮̂𝗴𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝘃𝗲́𝗵𝗶𝗰𝘂𝗹𝗲𝘀 𝗶𝗺𝗽𝗼𝗿𝘁𝗲́𝘀 : En 2014, le gouvernement sénégalais a durci la réglementation en fixant à 8 ans l’âge maximal des véhicules importés. Certains Sénégalais ont exprimé leur souhait de voir cette limite rehaussée, voire supprimée. Cependant, après réception d’une question écrite, le gouvernement a refusé de répondre favorablement, invoquant l’absence d’étude d’impact préalable avant toute modification de la loi.
𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗰𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝗮𝘁𝘀 𝗴𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝘂𝘅 : Plusieurs intervenants ont souligné le manque de représentation consulaire dans certaines grandes zones où réside une forte communauté sénégalaise. Ils plaident pour l’ouverture de consulats dans ces régions et pour un renforcement des services consulaires. Les ministères concernés envisagent la digitalisation du processus d’attribution et de confection des documents afin d’assurer une meilleure transparence et rapidité.